Tout sur les Eléphants de Côte d'Ivoire

Demi finale Champion's League 2008:
 Chelsea / Liverpool Le match vu par Drogba

Auteur : Gary Romain

Putain, il m'a chauffé le Rafa Benitez. Avant le match, il a raconté plein de conneries sur moi dans les journaux. Comme quoi je tombais trop souvent, patati patata... Ben il a vu à qui il avait à faire l'Espinguoin.


1-1 à l'aller grâce au gars à la tête bizarre, euh, Kuyt il s'appelle, et une tête plongeante bien sentie du roux rigolo Riise, on ne s'attendait pas à une telle «orgie» de buts entre mon équipe et notre adversaire, puisqu'on est deux équipes réputées pour notre discipline tactique. Au retour, je me dis que le 0-0 qu'on peut se permettre au coup d'envoi afin de disputer la première finale de Ligue des Champions de l'histoire du club allait nous offrir un match de bourrins verrouillé au milieu de terrain. Prenez nos 66 matches de suite sans défaite à domicile, ajoutez-y les huit dernières rencontres sans marquer de but dans notre stade de Fulham Road pour les Liverpuldiens, tous sous l'ère Benitez, on se dit que l'affaire est bien mal emmanchée pour les autres.

Moi vs Benitez

Malgré la pression que m'a mise avant le match un Rafael Benitez me reprochant de tomber un peu trop souvent, je suis dans tous les bons coups. On se sent bien dans ce match, on a l'air lancés sur le même rythme qui nous a permis de marcher sur Manchester United le week-end dernier.

Je n'ai plus de ballon valable par la suite, mais un tacle manqué par un des nombreux Espagnols de l'autre équipe va décanter la situation. Mon p'tit pote ivoirien Salomon Kalou frappe, le ballon est mal repoussé par «Pepe» Reina et celui-ci m'arrive dans les pattes. J'ai pas l'habitude de beaucoup réfléchir dans ce genre de situations. Je balance une mine au premier poteau et j'ouvre la marque (33ème).

Je suis tout fou, je cours vers le poteau de corner, puis je me ravise et je vais glisser sur les genoux pas loin de l'entraîneur adverse pour me moquer de lui... Zut, j'ai oublié de faire le coupé-décalé, de tourner douze fois autour du poteau de corner et de faire un truc qui vole avec mes mains pour me foutre de la gueule de Nico Anelka. Ce sera pour la prochaine fois.

Lucas ou Pennant ?

Bon, maintenant les Reds doivent en mettre deux pour passer. Pendant la mi-temps c'est comme d'hab', Grant essaie de nous faire une théorie que seul Ashley Cole écoute. C'est peut-être pour ça qu'il est devenu aussi nul. Nous, on parie sur les changements que va faire Rafa, c'est un de nos passe-temps favoris. Moi je vote Crouch pour Benayoun, je prends pas de risques. Terry, lui c'est un rigolo, il pronostique Lucas pour Arbeloa, je savais même pas que ces deux noms étaient des joueurs de foot. Makelele, lui, il regarde une 154ème fois Astérix, et arrête pas de nous dire : «Hé les gars, vous avez vu cette miss ? C'est ma copine !». Qu'est-ce qu'il peut nous bassiner avec sa Noémie Lenoir... Une meuf qui tombe amoureuse de Christian Clavier dans un film, je serais pas fier.

Bizarre pas encore de changement. Liverpool est franchement décevant en début de deuxième mi-temps. Mais au moment où je me dis ça, ce con de Carvalho en a pas eu assez avec son assist à Rooney le week-end dernier et se lance bêtement devant Benayoun. L'Israélien en rigole encore. Il a pu donner le ballon à Torres dans les 16. Et Torres dans les 16 balle au pied, ben ça fait but... Dire que le dernier joueur de Liverpool à avoir marqué ici c'était Bruno Cheyrou ! J'ai joué avec lui à l'OM, je me marre encore. Paraît qu'il joue stoppeur à Rennes maintenant.

C'est super lourd, j'ai pas touché un ballon dans la moitié de terrain adverse depuis des plombes. Liverpool domine, on se fait tourner autour. Et c'est pas avec notre lavette de coach qu'on va réussir à se rebeller. J'essaie bien d'effectuer des rush depuis nos 40 mètres, mais avec ma technique de bison, c'est un peu compliqué.

C'est long 120 minutes

Bon, ben prolongations, hein... Pfff, j'ai pas touché un ballon dans les dernières 45 minutes et c'est pas l'entrée de Nico sur l'aile droite qui a changé grand-chose. Pourquoi pas Sheva latéral pendant qu'il y est ce farceur d'Israélien... Riise puis Hyypia se créent deux belles occases et moi je chôme pendant ce temps. Si on va aux pénaltoches, je la sens mal. Avec la frite qu'a Liverpool dans cette compétition, ça ne peut que mal se finir. J'arrive bien à me créer une opportunité en mettant un grand pont au stoppeur adverse, mais Carragher vient tout enlever, y compris ma malléole. Sur le corner, on marque par Essien, mais l'assistant annule le but sous prétexte que je dansais devant Reina. On était juste quatre à être hors-jeu de position, pis quoi ? Si on a plus le droit de zouker dans les cinq mètres adverses, où va le football ?

Heureusement, l'ami Rosetti est un type bien et ne s'est pas laissé influencer par Benitez. Il nous offre un péno après un contrôle «hyypieyen» que seul le stoppeur finlandais peut inventer. Ballack est descendu dans la zone de vérité et Lampard rend hommage de la meilleure des manières à sa mère décédée la semaine passée en marquant sans sourciller. Dans la continuité, l'arbitre italien ne se laisse pas abuser par Babel qui s'envole. Est-ce que Benitez va en faire tout un pataquès dans les journaux cette fois ?

Finalement, Nico il m'aura été bien utile. Il m'a donné un caviar et m'a permis de réaliser le doublé. Au moins, on n'ira pas aux pénos, je vais pouvoir arriver à l'heure chez moi pour voir la fin de Ça se discute. Pour fêter le but cette fois, je chambre Benitez en me bouchant les oreilles. Du coup j'ai pas entendu mes collègues qui arrivaient dans mon dos et je me suis fait écraser par une meute furieuse.

 

Bon, ben la fin de saison va se jouer entre ManU et nous. En championnat comme en Ligue des Champions, nos deux équipes peuvent encore tout rafler. Avec notre président russe, je suis sûr que Wigan et West Ham vont être sacrément motivés pour garnir leurs comptes en banque de quelques roubles louches. C'est toujours pratique un gars comme Abramovitch, en plus comme la finale est à Moscou, je serais pas étonné qu'il se passe des trucs bizarres dans l'hôtel des Mancuniens. Note qu'un assassin de la mafia russe, ça fait toujours moins peur qu'un Rooney sous la douche



KEïta KADER PUISSANCE 2...lyon - monaco (3-2) >

Eto’o implore Barcelone d’acheter Drogba au plus vite.

 
date : 18-02-2008 source : Initiactives Multimédia /O.L
 
Selon la presse anglaise, l’attaquant camerounais Samuel Eto’O aurait demandé à ses dirigeants de mettre tous les moyens afin d’attirer Drogba à Barcelone l’été prochain.
Dans les coulisses, on parle d'une somme de 30 millions d'Euros pour son transfert. Samuel Eto'o veut jouer avec Drogba et il l'a annoncé dans les colonnes du Daily Star : "Je ne suis pas sûr à 100% des intentions de Barcelone mais Drogba serait un excellent renfort pour l'équipe. Je pense qu'il est tout à fait possible d'aligner Messi, Henry, Drogba et moi sur un terrain. Ce serait une équipe super offensive." On voit que Eto'o n'évoque pas Ronaldinho qui devrait quitter le club barcelonais en fin de saison. En effet, l'ancienne star du PSG devrait prendre le chemin inverse, et partir pour l'Angleterre sans grande précision pour l'instant.
 
découvrez la biographie de Didier Drogba
 
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Ce soir après la brillante qualification pour les Demi-finales contre l'équipe du Sili National Guinéen, les Pachidermes Ivoiriens vont battre le fer avec l'Egypte, Champion en titre c'est à dire ceux qui avaient arraché la victoire lors des pénaltis au bord du Nil. Comment vous dire le sentiment de Joyce Gabbana et moi même pendant ces moments si décisifs pour notre Pays, la Côte d'Ivoire! Nous sommes anxieux si le mot est vraiment approprié selon la circonstance. Si non, c'est à dire que le trouble c'est emparré de notre âme. Mais confiants, nous le sommes car malgré tout nous sommes la meilleure équipe du tournoi actuellement avec 1 but encaissé contre 13 partagés aux différents adversaires malheureux de la Côte d'Ivoire. Espérons que les Eléphants restent toujours calmes et soient plus agressif aujourd'hui pour prendre le match à notre compte. Rendez-vous à 20heures sur la chaîne des grands évènements c'est à dire la (RTI)Radio Télévision Ivoirienne pour la rétransmission du match de la Côte d'Ivoire / l'Egypte. Prions tous pour soutenir notre équipe Nationale!!!
Bilybalboa & Joyce Gabbana
COTE D'IVOIRE / MALI (3-0)

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CAN 2008 Ghana-Guinée : les Black Stars arrachent la victoire Article publié le 20/01/2008 Dernière mise à jour le 20/01/2008 à 21:58 TU Score final : 2 buts à 1. Face à une Guinée parfois maladroite mais opportuniste, l’équipe du pays organisateur n’a obtenu le succès qu’à la toute fin de ce match d’ouverture, grâce à un but marqué à la 91e minute. C'est le but de la délivrance. Des 25 mètres, un superbe tir de Sully Muntari dans la lucarne trompe le gardien guinéen Kémoko Camara. Et voilà les tribunes du stade Ohene Djan qui s’embrasent à quelques secondes du coup de sifflet final ! Michael Essien peut sourire : son Ghana a battu la Guinée de Pascal Feindouno. (Photo : Pierre René-Worms/RFI) Domination outrageuse mais stérile Après une première mi-temps assez terne marquée par une très nette domination ghanéenne - trois actions des Black Stars échouant sur les poteaux en trente minutes ! - et de nombreuses maladresses de part et d’autre, le jeune prodige ghanéen Asamoah Gyan (21 ans) avait donné l'avantage au Ghana à la 54e minute. L'égalisation guinéenne, signée Oumar Kalabane survenait alors à la 64e minute pour relancer le suspense et les clameurs d’un public tout acquis à la cause ghanéenne. De son côté, la Guinée, jouant le contre, laissait le jeu aux favoris de la rencontre - sinon de la compétition - se contentant de défendre et de se maintenir organisée. La pression sur les épaules Cette victoire 2 buts à 1 permet au Ghana d'empocher trois points précieux. Dans un groupe A dont l'autre favori est le Maroc, les Black Stars ont réussi sur le fil leur entrée en scène ce dimanche. Il faut dire que dans un pays fan de football, les Ghanéens abordaient la compétition avec toute la pression sur les épaules. Ils évoluent à domicile, possèdent une équipe brillante menée par Michael Essien et sont dirigés par un sélectionneur expérimenté, le Français Claude Le Roy, qui a déjà remporté l'épreuve en 1988 avec le Cameroun.

 


 
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