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INDEPENDANCE DU KOSOVO
Bilybalboa le 17/02/2008, 14 02 43 (UTC)
A LA UNE: INDEPENDANCE DU KOSOVO
Important dispositif de l'Otan dans le nord majoritairement serbe
17.02.08 | 12h14
Consultez les dépêches vidéo des agences AFP et Reuters, en français et en anglais.
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a Force de paix de l'Otan (Kfor) au Kosovo a déployé dimanche un important dispositif dans la ville ethniquement divisée de Kosovska Mitrovica (nord) à quelques heures de la proclamation de l'indépendance de cette province à majorité albanaise.
"Nous sommes en stand-by et espérons dissuader les parties (serbe et albanaise) de provoquer quelque incident que ce soit", a déclaré à l'AFP l'adjudant belge Johnny Verwichte.
Kosovska Mitrovica est ethniquement divisée de part et d'autre de la rivière Ibar. Quelque 40.000 Serbes vivent au nord et environ 80.000 Albanais au sud, et la tension entre les deux communautés a souvent provoqué des incidents violents.
La Kfor a installé à proximité d'un des deux principaux ponts sur l'Ibar, côté sud de Mitrovica mais juste en face du quartier Bosnjacka Mahala, situé dans le nord de la ville et peuplé en majorité par des Albanais, une base provisoire où des dizaines de véhicules et transports de troupes étaient en stationnement.
Le Parlement du Kosovo se réunit dimanche pour proclamer l'indépendance de la province du sud de la Serbie, qui devrait être reconnue rapidement par les Etats-Unis et les grands pays de l'Union européenne mais que Belgrade et la Russie ont par avance rejetée.
Sur les deux principaux ponts de la rivière Ibar, des barbelés et des barricades allaient être mis en place. "Nous espérons que nous n'aurons pas à les utiliser, mais nous sommes prêts à réagir", a indiqué l'adjudant Verwichte.
Dans les rues de Mitrovica nord, des dizaines de soldats de la Kfor patrouillaient les principales artères, quasiment désertes en raison d'un froid tenace.
L'adjudant Verwichte n'a toutefois pas été en mesure de préciser le nombre de soldats participants au dispositif de sécurité.
Quelque 120.000 Serbes, face à environ 1,8 million d'Albanais, sont restés au Kosovo après la guerre de 1998-1999.
Près de la moitié résident dans la partie Nord qui pourrait faire sécession après la proclamation d'indépendance du Kosovo par les dirigeants albanais de la province.
Le Kosovo s'apprête à proclamer son indépendance
Il y a 7 heures
PRISTINA (AFP) — Le Kosovo retenait son souffle dimanche à quelques heures de la proclamation de son indépendance, espérée depuis des générations par les Albanais majoritaires dans cette province, mais rejetée par les Serbes qui menacent d'une sécession. .
Le Premier ministre Hashim Thaçi a annoncé à la presse qu'il avait convoqué une "session extraordinaire du Parlement" qui aura pour agenda de voter "la déclaration d'indépendance".
L'Assemblée se rassemblera à huis clos à 11H00 GMT puis à 14H00 GMT pour une session publique. L'indépendance de cette province du sud de la Serbie devrait être reconnue rapidement par les Etats-Unis et les grands pays de l'Union européenne mais Belgrade et la Russie l'ont par avance rejetée. Dimanche sera "un jour historique (...), un jour de grâce pour un Kosovo souverain et indépendant", avait annoncé samedi le chef du gouvernement et ex-chef de l'Armée de libération du Kosovo (UCK).
Toute la nuit, sous la neige, Pristina a vibré aux cris de "Indépendance". Des dizaines de milliers de Kosovars, arborant leur drapeau - aigle noir bicéphale sur fond rouge - mêlé à celui des Etats-Unis ont envahi les rues. Le quotidien l'Express écrit dimanche en grosses lettres, sur fond de photos de Tito et Slobodan Milosevic: "FUCK YU" (sic).
La proclamation d'indépendance du Kosovo, ancien siège du royaume médiéval serbe, sera la dernière étape en date du démantèlement de la Yougoslavie de Tito qui était formée de six Républiques. Depuis 1991, la Slovénie, la Croatie, la Macédoine, la Bosnie-Herzégovine, le Monténégro ont déclaré leur indépendance.
Le Kosovo indépendant devrait être rapidement reconnu par les Etats-Unis, l'Allemagne, la France, la Grande-Bretagne, l'Italie. Mais Belgrade, soutenu par Moscou, et les Serbes du Kosovo (un peu moins de 10% de la population) y sont opposés. "Je n'abandonnerai jamais la lutte pour notre Kosovo", a juré le président serbe Boris Tadic. Par avance, la Serbie a "annulé" toute décision "illégale" des autorités kosovares conduisant à une indépendance et prévenu qu'elle s'y opposerait par "toutes les mesures diplomatiques, politiques et économiques".
Réalisant le vieux rêve des Albanais du Kosovo, M. Thaçi s'est engagé à garantir la sécurité des Serbes. "Le Kosovo est la patrie de tous ses citoyens", a-t-il promis. L'indépendance, coordonnée avec les Occidentaux, sera encadrée par l'Union européenne. L'UE est divisée sur la question et les Etats membres devraient simplement en "prendre note" lundi, lors d'une réunion de leurs chefs de la diplomatie.
En majorité, ils sont prêts à reconnaître le Kosovo indépendant. Mais, craignant que cela n'encourage les séparatismes, six Etats (Chypre, Grèce, Espagne, Bulgarie, Roumanie, Slovaquie) devraient s'abstenir, du moins dans un premier temps. Malgré ces divisions, l'UE a décidé de déployer au Kosovo une mission de 2.000 policiers et juristes pour accompagner les premiers pas de l'indépendance. Cette mission, à laquelle Belgrade et Moscou sont opposés, doit prendre la relève de la Mission de l'ONU au Kosovo (MINUK), qui administre la province depuis la fin de la guerre (1998-1999).
La MINUK fut envoyée au Kosovo après une campagne de bombardements de l'Otan de onze semaines qui obligea le président Milosevic à retirer les forces serbes qui combattaient la guérilla indépendantiste kosovare de l'UCK en commettant des exactions contre la population. Une force commandée par l'Otan, la KFOR, est chargée depuis 1999 d'assurer la sécurité au Kosovo.
Parmi les scénarios désormais possibles figure une sécession du nord du Kosovo, où vivent 40.000 des 120.000 Serbes présents dans la province.
Dans une décision contestant par avance la souveraineté kosovare, les Serbes du Kosovo ont annoncé vendredi qu'ils organiseraient les élections municipales prévues en mai en Serbie et formeraient leur propre "Parlement du Kosovo".
Des violences entre les deux communautés sont à craindre. "Il y aura des coups de feu si les Albanais tentent d'exercer leur pouvoir sur le Nord", a prévenu un des leaders des Serbes du Kosovo, Oliver Ivanovic. La KFOR a averti qu'elle réagirait "avec une grande fermeté à toute provocation". Pour beaucoup de Kosovars, dimanche est le résultat de la lutte de l'UCK. Loin de l'image misérable des centaines de milliers d'entre eux partis en 1999 se réfugier en Albanie et en Macédoine. "Je suis tellement excité ! On a attendu tellement longtemps, on s'est battu et ça arrive ! Je suis fier !", dit Besnik Kasneci 34 ans.
COTE D'IVOIRE: MANIFESTATION A BOUAKE
Frat-Mat Côte d'Ivoire le 26/12/2007, 18 06 39 (UTC)
Deux manifestations en une semaine : Tension toujours vive à Bouaké
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mercredi 26 décembre 2007 - Par Fraternité Matin Taille des caractères
La confrérie des chasseurs traditionnels a perturbé la quiétude des Bouakéens, le 24 décembre, par des manifestations de protestation.
La ville de Bouaké a connu une fois de plus des mouvements de protestation orchestrés le 24 décembre dernier par la confrérie des chasseurs traditionnels appelés communément Dozos aidés en cela par des engagés volontaires des Forces nouvelles. Ils ont bloqué durant une bonne partie de la journée les entrées sud et nord du corridor nord (route de Katiola) en posant des barricades. Cela a énormément perturbé la circulation. Des véhicules de transport en commun ont dû attendre plusieurs heures à l’entrée de ce corridor. Les protestataires revendiquaient le paiement immédiat des primes de compensation pour leur présence au sein des Forces nouvelles durant ces 5 dernières années. Car, selon le chef de la confrérie dozo, Bamba Karamoko, durant toutes ces années, lui et ses hommes n’ont reçu que 15.000 francs CFA. Alors que ce sont eux qui se sont battus bec et ongles au plus fort de la crise contre les FDS-CI pour conquérir les territoires dont se vantent les Forces nouvelles. Paradoxe des paradoxes, ils croupissent dans la misère tandis que, dit-il, ceux qui ne sont jamais allés au front roulent aujourd’hui carrosse. Il a fait savoir qu’ils ne peuvent plus accepter cela. C’est pourquoi ils exigent que le fossé qui les sépare soit ramené à des proportions raisonnables; faute de quoi, les zones sous contrôle des Forces nouvelles ne connaîtront plus la tranquillité. Ils ont mis séance tenante leur menace à exécution en investissant le centre-ville où ils se sont bruyamment manifestés en tirant en l’air et en arrachant des voitures à leurs propriétaires. C’est ainsi qu’ils ont contraint quatre sous-préfets à leur remettre leurs voitures. Il s’agit des sous-préfets de Katiola, Timbé, Satama Sokoura et Kong. Si les trois premiers cités ont eu la chance de retrouver leurs véhicules, ce n’est malheureusement pas le cas de celui de Kong.
Notre confrère Youssouf Sylla a vécu la même situation, mais très vite sa voiture lui a été restituée. Pour ramener le calme, les commandants Chérif Ousmane, Touré Hervé dit «Vétcho» et «Commandant Docteur» ont entamé des négociation avec les Dozo et les engagés volontaires des Forces nouvelles au corridor nord. Mais les discussions n’ont pas abouti parce que les positions étaient tranchées.
Ils ont donc eu recours au général Soumaïla Bakayoko, le chef d’état- major des Forces de défense et de sécurité des Forces nouvelles, pour tenter de fléchir les positions. Ainsi ils se sont retrouvés d’abord à l’état-major des FN et ensuite à l’état-major de la zone 3. A cette dernière séance de travail, on notait la présence du ministre Konaté Sidiki, porte-parole des FN, et de tous les chefs dozo. Au sortir de cette rencontre aux environs de 17 heures, les Dozo et leurs alliés ont accepté de lever les barricades et de permettre à la circulation de reprendre ses droits. Ils ont accepté aussi, à la demande du Premier ministre Soro Guillaume, par ailleurs secrétaire général des F.N, de se rendre aujourd’hui à Abidjan, accompagnés de 2 officiers des FN, pour y poursuivre les discussions afin d’aplanir tous les points de divergence. Avant l’étape d’Abidjan, hier au Centre culturel Jacques Aka, le général Soumaïla Bakayoko a tenu à rencontrer les Dozo et les engagés volontaires des Forces nouvelles pour leur expliquer dans les détails les 14 articles des Accords complémentaires de Ouagadougou. Il leur a dit, en substance, que cet accord prend en compte tous les problèmes des éléments des Forces nouvelles. Par conséquent, personne ne sera laissé pour compte. Dans la mesure où tous les éléments des Forces nouvelles y compris les Dozo percevront tous les mois, après leur regroupement, une prime forfaitaire de 90.000 francs CFA et seront aussi nourris et soignés. Il leur a aussi parlé du processus du désarmement qui a débuté à Tiébissou et Djébonoua par le regroupement des éléments de ces localités. Il n’a pas manqué de souligner que le manque de communication qui faisait défaut et qui est à l’origine de ces événements sera corrigé.
Notons que c’est la deuxième manifestation de colère en moins d’une semaine. Le 18 décembre déjà, la veille de la Tabaski, 150 soldats des FN avaient occupé les rues de Bouaké pour réclamer la prime de savon qui s’élève à 5.000 F par soldat.
Trois journalistes battus
Dans l’exercice de notre fonction, nous avons été pris à partie par les chasseurs dozo et les engagés volontaires des Forces nouvelles qui nous ont roués de coups. Nous nous sommes tirés de là avec une enflure à l’œil droit. Nous n’étions pas seuls à subir la furia du couple chasseurs dozo - engagés volontaires des Forces nouvelles. Car deux autres correspondants de presse régionaux, à savoir Didier Kouadio du quotidien «Le Jour Plus» et Francis N’Goran du journal «L’Inter», en compagnie desquels nous étions, ont également été tabassés. Le correspondant de «L’Inter» a perdu son portable, son dictaphone et de l’argent quand celui de «Le Jour Plus», plus chanceux, s’est vu remettre après, sa moto et son sac qui lui avaient été arrachés par nos bourreaux. Le crime que nous avons commis, c’est avoir été à l’affût de l’information pour informer les lecteurs du soulèvement des Dozo et des engagés volontaires des Forces nouvelles. Selon nos agresseurs, ils nous auraient confondus avec les journalistes de la cellule de Communication du secrétariat général des Forces nouvelles dont la présence n’était pas du tout souhaitée en ce lieu ce jour-là. Parce qu’ils étaient très remontés contre le secrétaire général des Forces nouvelles, ses plus proches collaborateurs au niveau du secrétariat général des Forces nouvelles, le porte-parole dudit mouvement, le ministre Konaté Sidiki, et l’ensemble des agents du secrétariat général des Forces nouvelles. Pourtant, dès notre arrivée sur les lieux, aux environs de 12 heures, nous les avons tout de suite approchés pour décliner notre identité. Mais nous avons été purement et simplement refoulés. Voulant coûte que coûte recueillir des informations pour nos lecteurs, nous sommes restés sur les lieux pour observer les différents mouvements et écouter les commentaires qui fusaient d’un peu partout. C’est ainsi qu’après le départ des commandants Chérif Ousmane, Touré Hervé dit Vétcho et du «commandant Docteur» qui étaient en négociation avec eux, afin de faire baisser la tension, nous avons été encerclés par les chasseurs dozo et les engagés volontaires des FN au moment où nous nous apprêtions à quitter les lieux. C’était le début de notre calvaire qui a duré près de 30 minutes. C’est après nous avoir copieusement bastonnés qu’ils se sont résolus à nous interroger. Dès que nous leur avons décliné notre identité, ils nous ont fait savoir qu’ils avaient besoin de nous pour relayer l’information. Ainsi ils se sont mis à nous expliquer dans les moindres détails les conditions difficiles dans lesquelles ils vivaient depuis 5 ans. Avant de les quitter, nous avons sympathisé avec nos bourreaux qui nous suppliaient de les aider à se faire entendre.
ARCHE DE ZOE--------RONALDO SUR LE POINT DE DEPART
Bilybalboa le 26/12/2007, 18 06 32 (UTC)
Arche de Zoé: 7 à 11 ans de travaux forcés requis contre les six Français
AFP - Mercredi 26 décembre, 12h02N'DJAMENA (AFP) - Le procureur général de la Cour criminelle de N'Djamena a requis mercredi une peine comprise entre 7 et 11 ans de prison, assortie de travaux forcés, contre l'ensemble des six accusés français dans le procès de L'Arche de Zoé. Evènement
Le procureur général Beassoum Ben Ngassoro a demandé de "déclarer coupables" les six Français de "tentative d'enlèvement d'enfants en vue de compromettre leur état civil", de "faux et usage de faux en écritures publiques" et de "grivèlerie".
Il n'a pas fait de distinction entre ces six membres de l'association L'Arche de Zoé, poursuivis pour avoir tenté d'exfiltrer le 25 octobre 103 enfants du Tchad vers la France et jugés depuis vendredi aux côtés de trois Tchadiens et d'un Soudanais, accusés de leur avoir servi d'intermédiaires.
Le procureur a requis l'acquittement de deux des accusés tchadiens, Sinine Amadou Nassour, 49 ans, maire de Tiné, et Ahmat Harane Gnoye, 47 ans, secrétaire général de la mairie de cette localité frontalière du Soudan.
Il a souhaité que la Cour déclare coupables "de complicité d'enlèvement d'enfants" Mahamat Dagot, 75 ans, chef de quartier de Tiné, et Souleimane Ibrahim Adam, réfugié soudanais de 57 ans, mais demandé qu'ils bénéficient de circonstances atténuantes "car ils ont été victimes d'une tromperie". Il a laissé le quantum de leurs peines "à l'appréciation du jury".
Lors de l'instruction comme devant la Cour criminelle, les membres de l'Arche de Zoé ont répété qu'ils désiraient "évacuer" vers la France des "orphelins du Darfour", province soudanaise voisine de l'est du Tchad en proie à la guerre civile.
Ils ont affirmé avoir été trompé par les intermédiaires locaux, qui selon eux ont "menti" et caché que les enfants étaient pour la plupart tchadiens et avaient un ou des parents.
Le procureur a requis la restitution des enfants aux "parents identifiés". Les enfants sont hébergés depuis le 25 octobre dans un orphelinat d'Abéché, principale ville de l'est du Tchad, d'où L'Arche de Zoé comptait les faire partir pour la France.
Il a demandé que les six Français, Mahamat Dagot et Souleïmane Ibrahim Adam soient condamnés solidairement à verser 4,12 milliards de francs CFA (6,3 millions d'euros) aux parents, soit 40 millions de francs CFA par enfant, et un franc CFA symbolique à l'Etat tchadien.
Il a demandé au tribunal de prononcer la restitution du Boeing-757 de la compagnie espagnole charter Girjet, affrété par L'Arche de Zoé pour ramener les enfants en France. L'avion avait été saisi le 25 octobre, peu après son atterrissage à Abéché. Il est actuellement stationné sur l'aéroport de N'Djamena.
En cas de condamnation, les six Français pourraient être transférés en France pour y purger leur peine, en vertu de l'"Accord en matière judiciaire" entre le Tchad et la France signé le 6 mars 1976 à N'Djamena.
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Sept à onze ans requis contre les six Français de l'Arche de ZoéReuters - il y a 2 heures 27 minutes
SAO PAULO, Brésil - Le club Flamengo, quintuple champion du Brésil, est en discussions avec le Milan AC à propos de l'acquisition de l'attaquant Ronaldo.
Le vice-président de Flamengo Kleber Leite a précisé que les dirigeants du club italien avaient autorisé l'équipe brésilienne à approcher Ronaldo, qui se trouve actuellement en vacances au Brésil.
"Ce n'est pas une manoeuvre de marketing", affirme Kleber Leite dans l'édition de mercredi du quotidien O Globo. "C'est une négociation que j'ai menée ces trois derniers jours, sans sensationnalisme. J'ai parlé à deux reprises avec (le responsable du Milan AC) Leonardo et Ronaldo".
Kleber Leite souligne que les deux parties semblent intéressées par un possible accord, mais souligne que rien n'a encore été convenu. "Nous avons juste commencé à négocier", dit-il. "Nous n'avons pas parlé de salaire ou de frais de transfert".
Ronaldo, âgé de 31 ans, a précédemment exprimé son souhait d'évoluer sous les couleurs de Flamengo au cours de sa carrière. Son contrat avec le Milan AC s'achève en juin 2008, mais les blessures ont limité son temps de jeu depuis qu'il a signé en janvier
Réconciliation
Bilybalboa le 21/12/2007, 15 03 16 (UTC)
Je me suis enfin reconcilier avec mon Trésor.C'est merveilleux les reconciliations vous savez!
Je suis un pauvre emmerdeur
Et cette fois j'ai bien poussé le bouchon loin
C'était pénible de savoir qu'elle m'en voulais
...
Heureusement que tout est bien qui fini bien!
Les Congés de fin d'année
Bilybalboa le 18/12/2007, 11 11 01 (UTC)
Hièr Lundi mon Bébé d'Amour est rentré toute fatiguée à la maison; après un long sommeil je réussi à la voir et elle me fit comprendre qu'on les avait laissé pour les fête de fin d'année. C'étais grand temps puisque depuis peux elle se plaignait de fatigue.Elle poura enfin se reposer un coup mais étudier aussi.
J'ai rêvé cette nuit à elle et elle ne sait pas encore à quoi, puisqu'elle ne sait.Ne tirez pas les oreilles car je lui dirai d'abords et ensuite vous.
Première visite
Joyce Gabbana le 14/12/2007, 19 07 25 (UTC)
Slt c'est Joyce Gabbana et c'est ma première visite sur mon site.Je sais que les copines vous ne me croyez pas mais hélas pour vous c'est belle et bien vrai.J'èspère que vous l'apprécierez et laisserez des commentaires.Bye je vous aime.